Pourquoi MY L pour son cour de Premier Secours ?


Le cours de premiers secours obligatoire pour le permis de conduire est souvent présenté comme un inventaire de gestes médicaux. Pourtant, pour tous les futurs conducteurs, la réalité est bien différente :
👉 ce cours n’est pas conçu pour des futurs soignants, mais pour des futurs conductrices et conducteurs.
👉 ce cours n’existe que parce qu’il est obligatoire pour celles et ceux qui veulent prendre le volant. Ne nous mentons pas, c’est la seule raison qui les pousse à s’inscrire.

L’objectif premier n’est pas tant médical qu’automobile.
Il est automobilepsychologiquecognitif, médical et surtout humain.

MY L Auto-École propose une approche profondément ancrée dans la réalité de la route, du stress et de la prise de décision.

Frédéric, le directeur de MY L : « Notre approche est pensée et conçue pour les conductrices et conducteurs de demain par des psychologues et des pédagogues de la route ».


1 — Les premiers secours : un acte de conduite, un acte humain

Il faut le dire sans détour :
Les élèves ne suivent pas ce cours pour devenir secouristes.
Ils le suivent parce qu’ils veulent conduire.

Et dans la vraie vie, lorsqu’un accident survient, ce n’est pas la médecine qui intervient en premier.

📌 Le premier témoin est presque toujours un automobiliste.
📌 Ce témoin est souvent stressé, surpris, potentiellement en état de choc.
📌 La victime, elle aussi, vit une panique profonde.

C’est dans cet instant — les 20 premières secondes — que tout se joue.

Selon les psychologues spécialisés en situations d’urgence, le cerveau humain passe par trois états :

  1. le désordre cognitif (qu’est-ce qui se passe ?)
  2. la sidération (je n’arrive pas à y croire)
  3. la reprise de contrôle (il faut agir)

Un secouriste improvisé ne peut agir correctement que si son esprit est structuré.

C’est pourquoi MY L insiste sur un principe simple :

Les premiers secours ne commencent pas avec les mains.
Ils commencent avec la tête.


2 — Comprendre la panique : la vôtre, et celle de la victime

Un accident est une scène chaotique. Bruits, odeurs, cris, véhicules endommagés, circulation à proximité…
La victime peut être :

  • désorientée
  • paniquée
  • agressive par peur
  • en hyperventilation
  • en état de choc
  • dans une douleur aiguë

Le témoin, lui, peut ressentir :

  • la peur de mal faire
  • la peur d’être responsable
  • l’effet tunnel
  • la perte de repères
  • la confusion

Le premier enjeu n’est donc pas d’effectuer un massage.
Le premier enjeu est de reprendre le contrôle de soi, de stabiliser la scène, de sécuriser, de réfléchir et d’alerter.

Les gestes techniques arrivent après.
Beaucoup plus tard.


3 — Une pédagogie ancrée dans la réalité psychologique d’un accident

Bien que le contenu officiel du cours soit défini par l’OFROU, MY L se distingue dans la manière de l’enseigner.
Les élèves y apprennent ce que les études en psychologie de crise montrent clairement :

3.1) Observer intelligemment

L’observation permet d’éviter le sur-accident.
Elle réduit la panique.
Elle donne au cerveau un point d’ancrage.

L’observation, c’est comprendre la scène avant d’agir.
C’est aussi se protéger soi-même.

3.2) Réfléchir vite et juste & sécuriser les lieux

La panique pousse à l’improvisation.
La structure mentale, elle, pousse à la bonne décision.

Sécuriser, c’est :

  • couper la circulation,
  • protéger la zone,
  • éviter que d’autres personnes se blessent,
  • protéger la victime elle-même.

3.3) Alerter efficacement

Une alerte claire et structurée sauve davantage de vies qu’un geste mal exécuté.

Savoir dire :

  • qui vous êtes,
  • où vous êtes,
  • ce que vous voyez,
  • ce qui menace,
  • ce qui est nécessaire.

Une mauvaise alerte retarde tout.
Une bonne alerte accélère l’arrivée des secours, ce qui est le facteur numéro un de survie.

3.4) Les gestes qui sauvent

La dernière étape seulement.
Tant que la scène n’est pas sécurisée, aucun geste ne sert à rien.
La victime ne peut pas être protégée dans le chaos.
Le conducteur-sauveteur ne doit jamais mettre sa propre vie en danger.


4 — Des équipes formées pour transmettre, rassurer et structurer

Les instructeurs de MY L ne sont pas des soignants et ce n’est pas un hasard.
MY L privilégie des personnes :

  • formées à la communication,
  • capables de gérer les émotions,
  • expertes dans la psychologie de la route,
  • habituées aux situations réelles de circulation,
  • à l’aise pour parler de stress, d’accidents, de choc et de réactions humaines.

Leur compétence n’est pas médicale — elle est pédagogiqueroutièrepsychologique et opérationnelle.

Ils enseignent ce qui sauve vraiment dans la réalité :
la lucidité d’un conducteur, pas la technicité d’un infirmier.


5 — Une expérience premium, unique en Suisse romande

MY L Auto-École ne propose pas seulement un cours : elle propose un environnement complet, pensé pour mettre les élèves dans les meilleures conditions d’apprentissage.

  • Boissons chaudes et froides offertes en permanence
  • Collations offertes pour tous les cours
  • Pizzas offertes le vendredi soir
  • Pains au chocolat offerts le samedi matin
  • Tous les livres de théorie OFFERTS (uniques en Suisse romande)
  • Accès illimité et gratuit aux locaux pour réviser
  • Une Helpline Théorie WhatsApp 7j/7
  • Assistance pédagogique complète
  • Accompagnement humain et chaleureux

Aucune autre auto-école en Suisse romande n’offre un ensemble d’avantages aussi complet.


Conclusion — Le cours de premiers secours n’est pas un cours médical.

C’est le premier acte de conduite responsable.

En choisissant MY L Auto-École, l’élève n’apprend pas seulement “les gestes”.
Il apprend à :

  • contrôler son stress,
  • structurer sa pensée sous pression,
  • protéger la scène,
  • reconnaître la panique d’une victime,
  • alerter de manière professionnelle,
  • agir intelligemment.

Les premiers secours sont un acte humain, un acte de conduite, un acte de responsabilité.