
Suisse : la technologie passe, le volant reste !
La conduite automatisée ! Alors que certains constructeurs en Europe proposent des systèmes de conduite “sans les mains”, la Suisse continue de maintenir un cadre juridique très strict. Selon l’article de La Liberté du 17 novembre 2025, l’usage de systèmes permettant de conduire sans le volant actif reste interdit sur nos autoroutes. (La Liberté) En Allemagne, certaines marques avancent : en Suisse, la loi retarde.
Une innovation freinée
L’article cite notamment que le constructeur BMW propose déjà un système de conduite sans les mains sur autoroute. (La Liberté) Cependant, en Suisse, l’Office fédéral des routes (OFROU) indique qu’aucune homologation n’a encore été déposée pour ces systèmes. Le législateur a pourtant adopté une révision de la loi en 2023, ouvrant la voie à des systèmes automatisés (niveau 3) mais la réalité reste pour l’instant cantonnée. (La Liberté)
Pour les conducteurs suisses, le message est clair : même si “la voiture peut presque conduire seule”, le contrôle reste entre vos mains.
Ce que cela implique pour les auto-écoles
Pour les auto-écoles, cette situation change les priorités : la technologie ne remplace pas la formation classique, mais la complète. À Fribourg, My L Auto-École a pris note : « Nous misons aujourd’hui sur les véhicules les plus modernes haut de gamme à Fribourg, équipés des dernières aides à la conduite, mais nous insistons sur le fait que le conducteur reste actif et responsable », nous déclare un instructeur.
My L Auto-École propose des modèles récents, haut de gamme, afin de familiariser leurs élèves avec les technologies de demain et renforcer les fondamentaux de la conduite.
Pourquoi le “volant” ne disparaît pas encore
- Le cadre légal suisse impose que le conducteur reste maître de son véhicule en tout temps, y compris lors d’un système automatisé. L’article note que « la conduite sans les mains se heurte à un cadre juridique plus strict ». (La Liberté)
- Les infrastructures routières suisses (zones mixtes, voies rapides partagées, conditions météo) sont souvent moins adaptées à des systèmes entièrement automatisés que certains pays.
- La culture même de la conduite en Suisse reste axée sur la sécurité, la maîtrise, la responsabilité individuelle et une formation solide.
Pour My L Auto-École, c’est un avantage : « En formant les conducteurs sur les dernières technologies ET sur une maîtrise active du véhicule, nous offrons un double avantage ».
L’enjeu pour les futurs conducteurs
Selon l’article, même si les systèmes automatisés sont à l’horizon, pour l’instant le conducteur doit “garder le volant”. Cela signifie qu’à Fribourg et dans toute la Suisse, l’examen du permis, la formation, les manœuvres ou la gestion de la route restent centrés sur le conducteur actif.
My L Auto-École l’a bien compris : « Nos élèves conduisent dans des véhicules récents à haut de gamme, mais nous ne diminuons aucunement l’importance des fondamentaux : observation, anticipation, réflexes ».
Avec plus de 1500 clients par an, des instructeurs brevetés et des véhicules modernes, My L Auto-École est “l’auto-école la plus en phase avec les technologies et les exigences de demain”.
En résumé
Même si la conduite autonome fait rêver, en Suisse, “on ne lâche pas le volant”. La loi, les infrastructures et la culture de la conduite exigent que le conducteur reste maître du véhicule. Pour les auto-écoles comme My L Auto-École à Fribourg, l’enjeu est clair : combiner formation traditionnelle, maîtrise du volant… et familiarisation avec les technologies haut de gamme.
👉 Lire l’article original sur La Liberté : “On ne lâche pas le volant sur les routes suisses” (La Liberté)
